Comment se passent les premiers jours d’un consultant chez CAPFI ?

C’est la question que nous avons posée à Yannick, consultant SOC chez CAPFI 6e Sens, au jour 0, c’est-à-dire le jour de son arrivée au sein de l’entreprise. 

Pour mieux comprendre comment se passe son intégration au sein de CAPFI, nous lui demanderons à nouveau de nous partager son ressenti après 30 puis 90 jours !
 

Jour 0 : premières impressions
 

Bonjour Yannick ! Bienvenue chez CAPFI. Peux-tu nous dire ce qui t’a motivé pour nous rejoindre ? 

Ce qui m'a attiré chez cette entreprise, ce sont leurs valeurs en matière de responsabilité sociale et environnementale – la fameuse RSE, ainsi que leur engagement réel en faveur de leurs collaborateurs. 

Même si j'avais d'autres options pour des postes similaires, c'est ce qui a fait la différence pour moi et m'a incité à choisir CAPFI.

Selon toi, quels sont les éléments de preuves que CAPFI apporte par rapport à ces deux points ?

J’ai plus d’une vingtaine d’années d’expérience en informatique donc je connais bien le monde des sociétés de services. Je sais notamment que, au sein de beaucoup d’entre elles, les collaborateurs sont considérés comme des numéros, pour le dire poliment.

C’est l’inverse chez CAPFI : il y a une vraie démarche, appuyée par des certifications qui montrent qu’ils savent vraiment se différencier sur ce point.

Cette perception s’est-elle vérifiée à ton arrivée lors de ton premier jour dans l’entreprise ?

J’ai bénéficié de 2 jours d'intégration la semaine après mon arrivée.

Pendant cette intégration, j'ai pu voir les efforts de CAPFI pour améliorer les choses, comme mettre à disposition un chargeur de téléphone compatible avec plusieurs modèles ou proposer des gobelets en plastique durables. 

Ce ne sont peut-être pas de grandes choses, mais c'est une preuve que CAPFI s'engage dans le domaine de l'environnement. C’est la cohérence de leurs principes que je trouve rassurante.

Par ailleurs, j'ai assisté à plusieurs présentations sur les investissements de CAPFI pour la responsabilité sociale et environnementale et les relations humaines. 

Pour l’instant, ce sont juste des déclarations, mais j’ai bon espoir que tout cela se concrétise par la suite.

Concernant la valorisation des personnes, qu’est-ce qui t’a marqué dans ton arrivée chez CAPFI ?

Mon responsable était présent lors de mon arrivée, ce qui n'est pas toujours le cas. J'ai été invité à manger le midi, par exemple.

Ce sont de petites choses, mais qui montrent qu'il y a une démarche d'onboarding et que je suis attendu. 

Mon PC était prêt pour mon arrivée, même si, étant dans la cybersécurité, j'ai dû totalement le reconfigurer moi-même avec un processus fourni.

Mes collègues et responsables étaient là pour m'aider si nécessaire.

Quel est ton avis sur l’équilibre vie pro / vie perso chez CAPFI ?

Ma situation est particulière parce que je travaille sur la cybersécurité. Compte tenu de certains impératifs, je ne suis au bureau qu'une seule journée par semaine et je suis les 4 autres jours en télétravail. Cela me permet d'avoir un bon équilibre entre ma vie professionnelle et ma vie personnelle, et j’en suis très satisfait.

J’aime me rendre au bureau pour voir mes collègues, mais je travaille dans un open-space, ce qui n'est pas idéal pour la confidentialité. 

De plus, je n'ai pas le même matériel que chez moi, ce qui rend mon travail moins confortable, par exemple, je n'ai pas de double écran.

Quels sont les défis professionnels qui t’ont attiré vers ton nouveau poste ?

Ce qui m'a attiré, c'est la volonté de travailler avec des produits français (notre hébergement cloud est chez OVHcloud, par exemple) plutôt qu'avec des produits d’autres pays.

Cela représente une différence significative par rapport à d'autres entreprises et une démarche intéressante en termes de sécurité, de protection des données et de confidentialité de l'information.

En tant que petite structure, CAPFI me donne la possibilité de participer à la création et à l'amélioration de notre propre organisation, ce qui m'intéresse car je ne veux pas seulement travailler sur la technique. Je ne veux pas être dans une grande entreprise impersonnelle. Je souhaite m’investir et contribuer à produire un meilleur cadre d’échange avec mes collègues.

Chez CAPFI, est-ce qu’il y a des certifications par rapport au cloud souverain ?

Il existe des certifications partenaires, mais pas de certification cloud souverain. Il y a une volonté de renforcer la sécurité en passant la norme ISO 27 000-1 sur la mise en place de la sécurité au sein d’un système d’information. Je vais d’ailleurs y participer.

Quel est ton ressenti sur la période d’onboarding ? Est-ce qu’il y a des choses qui t’ont interpellé ?

Je dirais qu’elle est plutôt bien organisée. 

Seul bémol, selon moi : il n’y avait pas de trombinoscope. Or c’est super important quand on arrive dans une nouvelle entreprise et qu’il faut retenir des dizaines de nouveaux prénoms et visages. On peut facilement les oublier, surtout quand ils sont en télétravail.

Rapidement, j’ai proposé de créer ce trombinoscope et cela a été immédiatement accepté. C’est aussi ça, CAPFI : quand on a une idée, on peut la soumettre sans appréhension et on a toujours un retour. C’est agréable. Nous verrons si je pense toujours cela dans 30 jours !