Jour 90 : bilan !
 

Bonjour Yannick ! Nous nous retrouvons 3 mois après ton arrivée. Est-ce que tes impressions de départ ont été confortées ? Aurais-tu quelques exemples à nous partager ?

Oui effectivement, les choses continuent à bien se passer, dans la même lancée qu’à mes débuts, mais… avec une différence importante !

Comme je l’avais expliqué précédemment, j’ai intégré CAPFI en tant qu’analyste SOC.

Or, récemment, mon Team Leader a changé de poste pour devenir responsable avant-vente et innovation. Un poste d'ingénieur Avant-vente a été ouvert également.  Possédant des connaissances et des compétences dans le domaine, grâce à mon expérience en tant que responsable informatique, j’ai postulé. Après un entretien concluant, on m’a proposé le poste, alors que je n’ai pas encore fini totalement ma période d’essai.

Mon nouveau métier comprend deux parties :

D’une part, je présente la partie technique de nos offres en cybersécurité aux clients en avant-vente.

D’autre part, je travaille sur la dimension « innovation » en testant de nouvelles solutions techniques notamment via des partenariats avec des plateformes et des éditeurs. Par exemple, en ce moment, nous sommes sur une offre de sensibilisation en cybersécurité et RGPD, avec notre partenaire Kamaé.

Je n'ai pas eu de formation directe, mais je me sens naturellement à l'aise dans ce métier et mon responsable est constamment là pour m’accompagner. Afin de conserver une bonne connaissance technique des solutions, je suis aussi les formations proposées par les éditeurs, tout comme les analystes SOC.

Donc, en conclusion, CAPFI a tenu compte de mes souhaits et m’a proposé une mobilité interne quelques mois seulement après mon arrivée dans le groupe. Ça montre, je pense, la capacité de l’entreprise à prendre en compte mon expérience, et à respecter l’humain.


Est-ce que ça a changé quelque chose par rapport à ton environnement. Par exemple, est-ce que tu as changé de collègues ?

Non car on reste une petite équipe où tout le monde se connaît.

Certes, je travaille beaucoup plus avec les commerciaux, et moins avec mes collègues du SOC. Néanmoins, on a gardé le fait de se voir au moins une fois par semaine tous ensemble de manière à garder cet esprit d’équipe.
 

Est-ce que ça a beaucoup modifié ton organisation ?

Oui, pas mal. 

En tant qu’analyste SOC, j’avais des horaires fixes. Je savais quel jour j’étais chez moi et quel jour j’étais au bureau. Maintenant c’est différent, je dois être réactif et disponible : ça dépend des impératifs et des besoins des prospects et des clients. Je peux être amené à partir, à bouger le jour même.  Et c’est quelque chose qui me convient, fort heureusement !

 Petite anecdote : nous avons des clients dans les DOM-TOM. Le soir de la Saint-Valentin j'ai dû faire une présentation à 19h à cause du décalage horaire. Heureusement, j’ai tout de même pu passer une excellente soirée avec ma compagne.
 

Penses-tu être intégré dans la politique de transformation de l'entreprise ? Être associé à des décisions ? 

J’ai une vue plus globale de l’activité du SOC. Avant, j’étais sur la gestion des incidents.

Maintenant, j’ai une visibilité sur l’activité des différentes directions. Je dois voir si on a la place pour intégrer des nouveaux clients, si la direction technique rencontre des difficultés, je vois aussi plus les partenaires. Je touche à plus de choses.

Aussi, je vois plus les impacts de mon investissement. Par exemple : on a signé deux nouveaux contrats dernièrement, c’est valorisant et stimulant. J’ai le sentiment de participer à la victoire collective.
 

Comment avance ton projet lié à la certification Voltaire ?

Ça avance bien !

En interne, si tu as une idée d’amélioration pour l’entreprise, pour répondre à une problématique ou pour améliorer l’activité ou même le bien-être des collaborateurs, tu as 2 processus disponibles :

-  Un atelier : le principe c’est d’avoir une problématique, mais sans idée de comment la résoudre. L’idée est donc de solliciter les « sachants » pour voir comment coconstruire une solution.

- Advice Process : C’est quand tu arrives avec à la fois une problématique et une solution pour la mettre en place. C’était le cas avec la certification Voltaire. Dans ce cas, tu peux solliciter des personnes expertes, des « sachants » pour proposer ta solution et avoir un retour. Selon leur retour, la direction d’entreprise peut mettre en place le projet.

Pour le projet Voltaire, l’idée c’est de mieux maîtriser l’orthographe de manière générale. J’ai rencontré les 5 directeurs des 5 entités du groupe CAPFI, et je leur ai présenté le projet.

Globalement, ils ont trouvé l’idée intéressante, c’est un projet qui devrait voir le jour en 2024.

Ce qui est remarquable, c’est qu’entre le moment où j’ai eu l’idée et le moment où j’ai pu la présenter son idée et avoir un feedback, il s’est écoulé très peu de temps.

C’est rare dans une entreprise qu’on te laisse l’opportunité de présenter un projet (surtout si peu de temps après ton arrivée), donc je considère cela comme un véritable atout chez CAPFI.
 

Tu recommandes donc toujours de rejoindre CAPFI ?

Oui, plus que jamais. 

Avant j’étais salarié chez le client, et maintenant j’ai l’impression d’être dans le meilleur des deux mondes : je travaille en interne et j’ai la dimension relation client.

Travailler dans de bonnes conditions humaines et matériel, c’est exactement ce que je souhaitais et c’est aussi ce que je souhaite pour tout le monde !